Présentation des équipes en science de la mise en œuvre
Vingt-deux équipes en science de la mise en œuvre composées de chercheurs et chercheuses de partout au pays collaborent avec des établissements de soins de longue durée et des résidences pour personnes aînées (dont certaines participent au programme SLD+ et pandémie : apprendre ensemble pour étudier l’efficacité d’interventions, d’options stratégiques et de pratiques prometteuses visant à protéger les résidents et résidentes, les familles, les personnes proches aidantes et le personnel de la COVID-19.)
Dans cette section :
Présence de la famille : (ré)intégrer les personnes proches aidantes
Chercheur principal : James Conklin
Établissement d’accueil : Institut de recherche Bruyère (Ontario)
Présence de la famille : (ré)intégrer les personnes proches aidantesChercheur principal : James Conklin |
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Présence de la famille : (ré)intégrer les personnes proches aidantes
L’objectif de cette étude était de permettre aux partenaires de soins essentiels, choisis par le résident ou la résidente pour lui apporter des soins physiques et psychosociaux essentiels, d’accéder en toute sécurité aux établissements de soins de longue durée (SLD) pendant et après la pandémie actuelle.
Le programme de partenaires de soins désignés mis en œuvre dans trois établissements a reçu un appui manifeste des résidents et résidentes, des familles et du personnel, et semble avoir été bénéfique pour la santé et le bien-être des résidents et résidentes. Dans l’ensemble, les résultats montrent que les soins prodigués par les partenaires de soins sont indispensables. De nombreuses personnes ayant fourni des données ont indiqué à l’équipe de recherche que les partenaires remplissaient deux fonctions dans les soins de longue durée : prendre soin des résidents et résidentes et défendre leurs intérêts. De plus, plusieurs cadres et membres d’équipes des établissements de soins de longue durée ont confié avoir été directement témoins de l’importance du rôle des partenaires de soins et de la nécessité d’améliorer les relations entre les familles et le personnel afin que tous travaillent en harmonie vers un but commun.
L’étude a permis de cibler les principes suivants pour améliorer les soins de longue durée en Ontario (où a été mené le projet de recherche) :
- Diminuer la dépendance aux exigences de conformité : Investir dans le personnel de soins pour garantir des soins aux résidents et résidentes en tout temps.
- Collaborer avec les résidents et résidentes, leurs proches et le personnel : Se mobiliser pour trouver et mettre en commun des idées, et pour travailler ensemble à la conception et à la mise en œuvre d’améliorations.
- Outiller les établissements de soins de longue durée et les principales parties prenantes : Tous les établissements de soins de longue durée sont uniques et devraient avoir les moyens de concevoir et d’appliquer les solutions les mieux adaptées à leur établissement.
- Apprendre ensemble en œuvrant à l’avènement d’un monde meilleur pour les personnes aînées : Les efforts d’amélioration des soins de longue durée devraient adopter un processus d’apprentissage social en amenant les parties prenantes des établissements de soins de longue durée de tous les territoires à raconter leurs expériences et à s’entraider pour faire progresser leurs plans d’améliorations.
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Présence de la famille : (ré)intégrer les personnes proches aidantesChercheur principal : James Conklin |
L’objectif de cette étude était de permettre aux partenaires de soins essentiels, choisis par le résident ou la résidente pour lui apporter des soins physiques et psychosociaux essentiels, d’accéder en toute sécurité aux établissements de soins de longue durée (SLD) pendant et après la pandémie actuelle. Le programme de partenaires de soins désignés mis en œuvre dans trois établissements a reçu un appui manifeste des résidents et résidentes, des familles et du personnel, et semble avoir été bénéfique pour la santé et le bien-être des résidents et résidentes. Dans l’ensemble, les résultats montrent que les soins prodigués par les partenaires de soins sont indispensables. De nombreuses personnes ayant fourni des données ont indiqué à l’équipe de recherche que les partenaires remplissaient deux fonctions dans les soins de longue durée : prendre soin des résidents et résidentes et défendre leurs intérêts. De plus, plusieurs cadres et membres d’équipes des établissements de soins de longue durée ont confié avoir été directement témoins de l’importance du rôle des partenaires de soins et de la nécessité d’améliorer les relations entre les familles et le personnel afin que tous travaillent en harmonie vers un but commun. L’étude a permis de cibler les principes suivants pour améliorer les soins de longue durée en Ontario (où a été mené le projet de recherche) :
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Outil RESPECT en SLD
Chercheuse principale : Amy Hsu
Établissement d’accueil : Institut de recherche Bruyère (Ontario)
Outil RESPECT en SLDChercheuse principale : Amy Hsu Établissement d’accueil : Institut de recherche Bruyère (Ontario) |
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Outil RESPECT en SLD
Pratique prometteuse : Planification des soins COVID-19 et non COVID-19
Territoires visés : Ottawa, Brampton (Ontario)
Pour les résidentes et résidents en soins de longue durée (SLD) atteints ou non de la COVID-19, l’intégration d’une démarche palliative est vitale à la qualité des soins. Or, la capacité d’action des établissements peut être restreinte par le manque de communication ou d’information sur le pronostic.
Notre projet vise à implanter et à évaluer rapidement l’outil de communication RESPECT (de l’anglais Risk Evaluation for Support: Predictions for Elder-life in the Community Tool [Évaluation du risque et du soutien requis : prédictions concernant la vie des aînés dans la communauté]) en SLD, afin de soutenir les efforts continus des prestataires de soins de santé et de services sociaux qui intègrent des démarches palliatives dans les procédures et la culture cliniques.
L’outil RESPECT permet de prédire efficacement le risque de décès sur six mois et l’espérance de vie des personnes aînées. Les prestataires s’en servent pour prendre des décisions sur l’amorce des soins palliatifs et de fin de vie. Il a été conçu avec l’aide de patients et patientes et de personnes proches aidantes.
Outil RESPECT en SLDChercheuse principale : Amy Hsu Établissement d’accueil : Institut de recherche Bruyère (Ontario) |
Pratique prometteuse : Planification des soins COVID-19 et non COVID-19 Territoires visés : Ottawa, Brampton (Ontario) Pour les résidentes et résidents en soins de longue durée (SLD) atteints ou non de la COVID-19, l’intégration d’une démarche palliative est vitale à la qualité des soins. Or, la capacité d’action des établissements peut être restreinte par le manque de communication ou d’information sur le pronostic. Notre projet vise à implanter et à évaluer rapidement l’outil de communication RESPECT (de l’anglais Risk Evaluation for Support: Predictions for Elder-life in the Community Tool [Évaluation du risque et du soutien requis : prédictions concernant la vie des aînés dans la communauté]) en SLD, afin de soutenir les efforts continus des prestataires de soins de santé et de services sociaux qui intègrent des démarches palliatives dans les procédures et la culture cliniques. L’outil RESPECT permet de prédire efficacement le risque de décès sur six mois et l’espérance de vie des personnes aînées. Les prestataires s’en servent pour prendre des décisions sur l’amorce des soins palliatifs et de fin de vie. Il a été conçu avec l’aide de patients et patientes et de personnes proches aidantes. |
Prescription améliorée de médicaments en fin de vie dans les établissements de soins de longue durée durant la pandémie
Chercheur principal : Peter Tanusepturo
Établissement d’accueil : Institut de recherche Bruyère (Ontario)
Prescription améliorée de médicaments en fin de vie dans les établissements de soins de longue durée durant la pandémieChercheur principal : Peter Tanusepturo |
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Prescription améliorée de médicaments en fin de vie dans les établissements de soins de longue durée durant la pandémie
Pratiques prometteuses : Préparation, planification des soins COVID-19 et non COVID-19, effectifs
Territoires visés : Brampton (Ontario), Calgary (Alberta)
Partenaires : Réseau ontarien des soins palliatifs et Alberta Health Services
Il faut absolument proposer des soins palliatifs aux résidents et résidentes des établissements de soins de longue durée (ESLD), qu’ils soient ou non atteints de la COVID-19. Ils y séjournent en moyenne 18 mois, et 25 % décèdent dans la première année. Le soulagement des symptômes est essentiel à une fin de vie confortable et constitue un excellent marqueur de substitution pour les soins palliatifs.
Certains prestataires de soins de longue durée manquent d’expertise ou de temps, surtout dans ce contexte pandémique exigeant et restreignant, pour prescrire des médicaments indispensables. Notre étude vise à améliorer les soins de fin de vie à l’échelle systémique par :
- la création d’un indicateur de qualité des soins palliatifs et de fin de vie mesuré dans tous les ESLD;
- la formation du personnel et d’autres interventions de soutien;
- le renforcement de la capacité des petits prescripteurs à composer avec les décès au fil des vagues d’infections, ce qui améliorera la réponse à la pandémie;
- une meilleure planification des soins COVID-19 et non COVID-19.
Prescription améliorée de médicaments en fin de vie dans les établissements de soins de longue durée durant la pandémieChercheur principal : Peter Tanusepturo |
Pratiques prometteuses : Préparation, planification des soins COVID-19 et non COVID-19, effectifs Il faut absolument proposer des soins palliatifs aux résidents et résidentes des établissements de soins de longue durée (ESLD), qu’ils soient ou non atteints de la COVID-19. Ils y séjournent en moyenne 18 mois, et 25 % décèdent dans la première année. Le soulagement des symptômes est essentiel à une fin de vie confortable et constitue un excellent marqueur de substitution pour les soins palliatifs. Certains prestataires de soins de longue durée manquent d’expertise ou de temps, surtout dans ce contexte pandémique exigeant et restreignant, pour prescrire des médicaments indispensables. Notre étude vise à améliorer les soins de fin de vie à l’échelle systémique par :
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Plans d’aménagement pensés pour prévenir et contrôler les infections dans les aires de travail communes en soins de longue durée
Chercheuse principale : Chantal Trudel
Établissement d’accueil : Université Carleton (Ontario)
Plans d’aménagement pensés pour prévenir et contrôler les infections dans les aires de travail communes en soins de longue duréeChercheuse principale : Chantal Trudel |
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Plans d’aménagement pensés pour prévenir et contrôler les infections dans les aires de travail communes en soins de longue durée
Pratiques prometteuses : Prévention, personnel
Territoires visés : Ottawa, London (Ontario)
Ce projet s’est concentré sur l’influence de l’aménagement sur la capacité du personnel à respecter les consignes de distanciation dans le milieu de travail. L’équipe de recherche a dégagé des zones principales de congestion et d’achalandage dans deux établissements de soins de longue durée où il serait possible de revoir l’aménagement pour réduire l’achalandage.
Une observation naturaliste approfondie a permis à l’équipe de circonscrire facilement les zones où l’aménagement et les objets utilisés entraînaient une circulation élevée. L’équipe a aussi pu établir quels éléments de l’environnement physique influencent l’adhésion au port du masque. Elle travaille actuellement avec les établissements pour y implanter un système de localisation en temps réel qui lui permettra de valider ses résultats avec des données quantitatives. Elle a aussi mené des études de conception pour corriger les aspects de l’environnement contribuant à l’achalandage et à la faible adhésion au port du masque.
L’étude relève donc les facteurs de risque d’achalandage et de faible adhésion au port du masque liés à l’aménagement. Les résultats font ressortir des données probantes pour repenser l’aménagement des aires de travail afin de préparer les établissements aux éclosions liées à ces deux phénomènes.
Plans d’aménagement pensés pour prévenir et contrôler les infections dans les aires de travail communes en soins de longue duréeChercheuse principale : Chantal Trudel |
Pratiques prometteuses : Prévention, personnel Territoires visés : Ottawa, London (Ontario) Ce projet s’est concentré sur l’influence de l’aménagement sur la capacité du personnel à respecter les consignes de distanciation dans le milieu de travail. L’équipe de recherche a dégagé des zones principales de congestion et d’achalandage dans deux établissements de soins de longue durée où il serait possible de revoir l’aménagement pour réduire l’achalandage. Une observation naturaliste approfondie a permis à l’équipe de circonscrire facilement les zones où l’aménagement et les objets utilisés entraînaient une circulation élevée. L’équipe a aussi pu établir quels éléments de l’environnement physique influencent l’adhésion au port du masque. Elle travaille actuellement avec les établissements pour y implanter un système de localisation en temps réel qui lui permettra de valider ses résultats avec des données quantitatives. Elle a aussi mené des études de conception pour corriger les aspects de l’environnement contribuant à l’achalandage et à la faible adhésion au port du masque. L’étude relève donc les facteurs de risque d’achalandage et de faible adhésion au port du masque liés à l’aménagement. Les résultats font ressortir des données probantes pour repenser l’aménagement des aires de travail afin de préparer les établissements aux éclosions liées à ces deux phénomènes. |
Nutrition as Medication : de la recherche à l’implantation
Chercheuse principale : Nancy Presse
Établissement d’accueil : Centre de recherche de l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal (Québec)
Nutrition as Medication : de la recherche à l’implantationChercheuse principale : Nancy Presse |
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Nutrition as Medication : de la recherche à l’implantation
Pratique prometteuse : Planification des soins COVID-19 et non COVID-19
Territoire visé : Montréal (Québec)
La malnutrition et la perte de poids sont de véritables endémies dans les établissements de soins de longue durée (ESLD), et la situation a empiré pendant la pandémie de COVID-19. Depuis 2017, notre équipe met au point et teste une stratégie appelée Nutrition as Medication (NAM), qui consiste à prescrire de faibles doses de suppléments alimentaires à prise orale et à les distribuer comme des médicaments dans les ESLD. D’après les résultats préliminaires, l’intervention semble limiter et possiblement prévenir la détérioration de l’état nutritionnel des résidents et résidentes, qu’ils contractent ou non la COVID-19.
Pour aider les établissements à traverser la pandémie, nous supervisons l’implantation à grande échelle de NAM en soins de longue durée. Nous évaluerons la démarche en déterminant les facteurs favorables et défavorables, demanderons au personnel du secteur, aux personnes proches aidantes et aux résidents et résidentes de s’exprimer sur les effets de l’intervention, et adapterons son application au contexte pandémique.
Nutrition as Medication : de la recherche à l’implantationChercheuse principale : Nancy Presse |
Pratique prometteuse : Planification des soins COVID-19 et non COVID-19 La malnutrition et la perte de poids sont de véritables endémies dans les établissements de soins de longue durée (ESLD), et la situation a empiré pendant la pandémie de COVID-19. Depuis 2017, notre équipe met au point et teste une stratégie appelée Nutrition as Medication (NAM), qui consiste à prescrire de faibles doses de suppléments alimentaires à prise orale et à les distribuer comme des médicaments dans les ESLD. D’après les résultats préliminaires, l’intervention semble limiter et possiblement prévenir la détérioration de l’état nutritionnel des résidents et résidentes, qu’ils contractent ou non la COVID-19. Pour aider les établissements à traverser la pandémie, nous supervisons l’implantation à grande échelle de NAM en soins de longue durée. Nous évaluerons la démarche en déterminant les facteurs favorables et défavorables, demanderons au personnel du secteur, aux personnes proches aidantes et aux résidents et résidentes de s’exprimer sur les effets de l’intervention, et adapterons son application au contexte pandémique. |
Une approche collaborative de la qualité, centrée sur les résidents et les familles, pour une préparation globale à la pandémie dans les établissements de soins de longue durée (étude PAPLOC)
Chercheur principal : Akber Mithani
Établissement d’accueil : Fraser Health Authority (Colombie-Britannique)
Une approche collaborative de la qualité, centrée sur les résidents et les familles, pour une préparation globale à la pandémie dans les établissements de soins de longue durée (étude PAPLOC)Chercheur principal : Akber Mithani |
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Une approche collaborative de la qualité, centrée sur les résidents et les familles, pour une préparation globale à la pandémie dans les établissements de soins de longue durée (étude PAPLOC)
Pratique prometteuse : Préparation
Territoires visés : Abbotsford, New Westminster, Coquitlam (Colombie-Britannique)
Pour se préparer efficacement aux pandémies, les établissements de soins de longue durée (ELSD) doivent voir à la mise en œuvre rapide, exhaustive et adaptée de pratiques et de politiques prometteuses. La mise en œuvre peut se faire dans le cadre d’une approche collaborative et systématique d’amélioration de la qualité (AQ). Les restrictions dues à la COVID-19 font en sorte qu’il faut souvent faire intervenir les importants partenaires d’AQ – proches aidants, aides-soignants, personnel infirmier, professionnels de la santé, gestionnaires, directeurs, etc. – à distance.
Nous réaliserons un projet collaboratif virtuel d’AQ dans des ESLD afin d’étudier :
- l’utilisation de l’outil de collaboration virtuelle Slack dans le cadre d’une approche systématique d’AQ pour mettre en œuvre des pratiques prometteuses et combler toutes les lacunes dans la préparation aux pandémies;
- l’utilisation de Slack pour mettre à l’échelle et diffuser les politiques et pratiques prometteuses en matière de préparation aux pandémies dans de multiples établissements dans le cadre d’un projet collaboratif d’AQ.
Une approche collaborative de la qualité, centrée sur les résidents et les familles, pour une préparation globale à la pandémie dans les établissements de soins de longue durée (étude PAPLOC)Chercheur principal : Akber Mithani |
Pratique prometteuse : Préparation Pour se préparer efficacement aux pandémies, les établissements de soins de longue durée (ELSD) doivent voir à la mise en œuvre rapide, exhaustive et adaptée de pratiques et de politiques prometteuses. La mise en œuvre peut se faire dans le cadre d’une approche collaborative et systématique d’amélioration de la qualité (AQ). Les restrictions dues à la COVID-19 font en sorte qu’il faut souvent faire intervenir les importants partenaires d’AQ – proches aidants, aides-soignants, personnel infirmier, professionnels de la santé, gestionnaires, directeurs, etc. – à distance. Nous réaliserons un projet collaboratif virtuel d’AQ dans des ESLD afin d’étudier :
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Mise en œuvre des recommandations du personnel en soins de longue durée dirigée par des infirmières et infirmiers praticiens pendant la pandémie
Chercheuse principale : Katherine McGilton
Établissement d’accueil : KITE, Institut de réadaptation de Toronto, Réseau universitaire de santé (Ontario)
Mise en œuvre des recommandations du personnel en soins de longue durée dirigée par des infirmières et infirmiers praticiens pendant la pandémieChercheuse principale : Katherine McGilton |
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Mise en œuvre des recommandations du personnel en soins de longue durée dirigée par des infirmières et infirmiers praticiens pendant la pandémie
Pratiques prometteuses : Personnel, planification des soins COVID-19 et non COVID-19
Territoires visés : Waterloo, Sarnia (Ontario)
Cette étude visait à concevoir et à adapter aux besoins et aux contextes de deux établissements de soins de longue durée une intervention réunissant un caucus dirigé par des infirmières et infirmiers praticiens (IP), d’en faire un projet pilote et d’évaluer la mise en œuvre ainsi que l’influence de l’intervention sur des paramètres comme la détresse morale, le soutien, la satisfaction au travail et la santé du personnel.
Dans le cadre de ces travaux, une trousse d’outils de mise en œuvre de caucus dirigés par des IP a vu le jour, dont l’évaluation du processus a montré l’efficacité. Les personnes participant à ces caucus ont rapporté une détresse morale inférieure et un plus grand soutien de la part des IP par rapport aux personnes non participantes. Des données qualitatives ont également fait ressortir des facteurs influençant fortement la mise en œuvre des caucus dans le contexte de soins de longue durée.
Les membres du corps infirmer praticien ont fait figure de leaders et de piliers pour le personnel, capables d’implanter de nouvelles pratiques. Quant aux caucus, ils peuvent servir à soutenir le personnel en soins de longue durée et à améliorer les soins. Pour favoriser leur implantation, les gestionnaires du domaine doivent cependant réfléchir à leur degré de participation aux caucus, à l’importance d’y inclure tous les membres de l’équipe pour favoriser l’établissement de liens et à l’intégration d’IP comme membres à temps plein du personnel.
Mise en œuvre des recommandations du personnel en soins de longue durée dirigée par des infirmières et infirmiers praticiens pendant la pandémieChercheuse principale : Katherine McGilton |
Pratiques prometteuses : Personnel, planification des soins COVID-19 et non COVID-19 Territoires visés : Waterloo, Sarnia (Ontario) Cette étude visait à concevoir et à adapter aux besoins et aux contextes de deux établissements de soins de longue durée une intervention réunissant un caucus dirigé par des infirmières et infirmiers praticiens (IP), d’en faire un projet pilote et d’évaluer la mise en œuvre ainsi que l’influence de l’intervention sur des paramètres comme la détresse morale, le soutien, la satisfaction au travail et la santé du personnel. Dans le cadre de ces travaux, une trousse d’outils de mise en œuvre de caucus dirigés par des IP a vu le jour, dont l’évaluation du processus a montré l’efficacité. Les personnes participant à ces caucus ont rapporté une détresse morale inférieure et un plus grand soutien de la part des IP par rapport aux personnes non participantes. Des données qualitatives ont également fait ressortir des facteurs influençant fortement la mise en œuvre des caucus dans le contexte de soins de longue durée. Les membres du corps infirmer praticien ont fait figure de leaders et de piliers pour le personnel, capables d’implanter de nouvelles pratiques. Quant aux caucus, ils peuvent servir à soutenir le personnel en soins de longue durée et à améliorer les soins. Pour favoriser leur implantation, les gestionnaires du domaine doivent cependant réfléchir à leur degré de participation aux caucus, à l’importance d’y inclure tous les membres de l’équipe pour favoriser l’établissement de liens et à l’intégration d’IP comme membres à temps plein du personnel. |
MedSécure : optimiser les prescriptions pour se préparer aux pandémies
Chercheuse principale : Emily McDonald
Établissement d’accueil : Centre universitaire de santé McGill (Québec)
MedSécure : optimiser les prescriptions pour se préparer aux pandémiesChercheuse principale : Emily McDonald |
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MedSécure : optimiser les prescriptions pour se préparer aux pandémies
Pratique prometteuse : Planification des soins COVID-19 et non COVID-19
Territoires visés : Toronto, Ottawa (Ontario)
Cette étude visait à intégrer l’outil électronique d’aide à la décision MedSécure au dossier de santé électronique PointClickCare pour favoriser la déprescription en soins de longue durée. L’équipe de recherche souhaitait améliorer le processus de gestion de la pharmacothérapie et mettre à l’essai une solution de déprescription évolutive pendant la pandémie.
L’équipe de recherche a réussi à intégrer MedSécure à PointClickCare et à montrer qu’un outil électronique d’aide à la décision peut constituer une solution évolutive de déprescription. Étant donné le contexte pandémique, l’équipe a connu quelques difficultés pendant l’étude, notamment des problèmes de communication avec les établissements de soins de longue durée et le personnel et une pénurie de personnel, ce qui a limité l’utilisation de MedSécure dans un des deux établissements partenaires. L’équipe a appris que plusieurs défis simultanés peuvent survenir et qu’il est souvent difficile de faire de la sécurité des médicaments la priorité.
L’équipe de recherche vise donc à faire de la déprescription une priorité lors de la révision de la médication en suscitant un intérêt pour MedSécure, plus particulièrement sur la manière dont cet outil peut faciliter la gestion de la pharmacothérapie.
Ressources
MedSécure : optimiser les prescriptions pour se préparer aux pandémiesChercheuse principale : Emily McDonald |
Pratique prometteuse : Planification des soins COVID-19 et non COVID-19 Territoires visés : Toronto, Ottawa (Ontario) Cette étude visait à intégrer l’outil électronique d’aide à la décision MedSécure au dossier de santé électronique PointClickCare pour favoriser la déprescription en soins de longue durée. L’équipe de recherche souhaitait améliorer le processus de gestion de la pharmacothérapie et mettre à l’essai une solution de déprescription évolutive pendant la pandémie. L’équipe de recherche a réussi à intégrer MedSécure à PointClickCare et à montrer qu’un outil électronique d’aide à la décision peut constituer une solution évolutive de déprescription. Étant donné le contexte pandémique, l’équipe a connu quelques difficultés pendant l’étude, notamment des problèmes de communication avec les établissements de soins de longue durée et le personnel et une pénurie de personnel, ce qui a limité l’utilisation de MedSécure dans un des deux établissements partenaires. L’équipe a appris que plusieurs défis simultanés peuvent survenir et qu’il est souvent difficile de faire de la sécurité des médicaments la priorité. L’équipe de recherche vise donc à faire de la déprescription une priorité lors de la révision de la médication en suscitant un intérêt pour MedSécure, plus particulièrement sur la manière dont cet outil peut faciliter la gestion de la pharmacothérapie. Ressources |
Mise en œuvre et déploiement d’une trousse d’outils en soins palliatifs dans les établissements de soins de longue durée pendant la COVID-19
Chercheuse principale : Sharon Kaasalainen
Établissement d’accueil : Université McMaster (Ontario)
Mise en œuvre et déploiement d’une trousse d’outils en soins palliatifs dans les établissements de soins de longue durée pendant la COVID-19Chercheuse principale : Sharon Kaasalainen |
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Mise en œuvre et déploiement d’une trousse d’outils en soins palliatifs dans les établissements de soins de longue durée pendant la COVID-19
Pratiques prometteuses : Présence des familles, préparation, effectifs, planification des soins COVID-19 et non COVID-19
Territoires visés : Saint John (Nouveau-Brunswick), Hamilton (Ontario), Battleford (Saskatchewan)
Les résidents des établissements de soins de longue durée (ESLD) et leur famille doivent souvent prendre des décisions critiques et émotionnellement chargées sur la fin de vie sans aucune discussion préparatoire, ce qui provoque du stress et des conflits. Pour répondre aux besoins des résidents, de leurs proches et des ESLD, nous avons créé une trousse d’outils nommée Strengthening a Palliative Approach in LTC (Renforcer l’approche palliative en SLD).
La trousse rassemble des outils et des pratiques visant à : faire intervenir les résidents et la famille tout au long de l’évolution de la maladie; former le personnel au moyen de modules en ligne; réduire le stress et améliorer la santé psychologique; et mettre au point des structures et des procédures organisationnelles qui mettent de l’avant une approche palliative des soins.
Nous évaluerons l’utilisation et l’efficacité de la trousse dans les ESLD pendant la pandémie de COVID-19, jugerons de la possibilité de la mettre à l’échelle dans les trois provinces et trouverons des manières de l’adapter à différents contextes et régions.
Mise en œuvre et déploiement d’une trousse d’outils en soins palliatifs dans les établissements de soins de longue durée pendant la COVID-19Chercheuse principale : Sharon Kaasalainen |
Pratiques prometteuses : Présence des familles, préparation, effectifs, planification des soins COVID-19 et non COVID-19 Les résidents des établissements de soins de longue durée (ESLD) et leur famille doivent souvent prendre des décisions critiques et émotionnellement chargées sur la fin de vie sans aucune discussion préparatoire, ce qui provoque du stress et des conflits. Pour répondre aux besoins des résidents, de leurs proches et des ESLD, nous avons créé une trousse d’outils nommée Strengthening a Palliative Approach in LTC (Renforcer l’approche palliative en SLD). La trousse rassemble des outils et des pratiques visant à : faire intervenir les résidents et la famille tout au long de l’évolution de la maladie; former le personnel au moyen de modules en ligne; réduire le stress et améliorer la santé psychologique; et mettre au point des structures et des procédures organisationnelles qui mettent de l’avant une approche palliative des soins. Nous évaluerons l’utilisation et l’efficacité de la trousse dans les ESLD pendant la pandémie de COVID-19, jugerons de la possibilité de la mettre à l’échelle dans les trois provinces et trouverons des manières de l’adapter à différents contextes et régions. |
Une vie meilleure pour les aînés en soins de longue durée à Terre-Neuve
Chercheuse principale : Shree Mulay
Établissement d’accueil : Université Memorial de Terre-Neuve (Terre-Neuve-et-Labrador)
Une vie meilleure pour les aînés en soins de longue durée à Terre-NeuveChercheuse principale : Shree Mulay |
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Une vie meilleure pour les aînés en soins de longue durée à Terre-Neuve
Pratique prometteuse : Présence des familles
Territoires visés : Carbonear, St. John’s, Placentia, Wabana, Bell Island, Clarenville, Bonavista, Grand Bank, St. Lawrence (Terre-Neuve-et-Labrador)
Notre étude porte sur les interventions centrées sur les résidents en soins de longue durée (SLD) et leur famille, et a le potentiel d’améliorer la prestation de soins aux personnes âgées dans la province. Nous avons trois principaux objectifs : accélérer l’obtention de données probantes de haute qualité qui guideront l’intervention rapide du Canada face à la pandémie de COVID-19; réaliser une série de tests pour augmenter la collaboration locale et réorienter les infrastructures de recherche en place; et fournir des données sur les soins aux personnes âgées qui serviront dans la prise de décisions et la planification partout au pays.
Nous examinerons les interventions suivantes : les consultations virtuelles et la messagerie électronique; le soutien virtuel en santé mentale; la planification des soins intégrés des résidents atteints ou non de la COVID-19, y compris les soins virtuels; et la formation en matière de prévention et de contrôle des infections des dirigeants en SLD.
Nos résultats seront dignes d’intérêt pour toute province où une partie de la population vit dans des communautés rurales, de petites villes ou d’autres milieux s’apparentant aux établissements de SLD de Terre-Neuve-et-Labrador.
Une vie meilleure pour les aînés en soins de longue durée à Terre-NeuveChercheuse principale : Shree Mulay |
Pratique prometteuse : Présence des familles Notre étude porte sur les interventions centrées sur les résidents en soins de longue durée (SLD) et leur famille, et a le potentiel d’améliorer la prestation de soins aux personnes âgées dans la province. Nous avons trois principaux objectifs : accélérer l’obtention de données probantes de haute qualité qui guideront l’intervention rapide du Canada face à la pandémie de COVID-19; réaliser une série de tests pour augmenter la collaboration locale et réorienter les infrastructures de recherche en place; et fournir des données sur les soins aux personnes âgées qui serviront dans la prise de décisions et la planification partout au pays. Nous examinerons les interventions suivantes : les consultations virtuelles et la messagerie électronique; le soutien virtuel en santé mentale; la planification des soins intégrés des résidents atteints ou non de la COVID-19, y compris les soins virtuels; et la formation en matière de prévention et de contrôle des infections des dirigeants en SLD. Nos résultats seront dignes d’intérêt pour toute province où une partie de la population vit dans des communautés rurales, de petites villes ou d’autres milieux s’apparentant aux établissements de SLD de Terre-Neuve-et-Labrador. |
Mise en œuvre de politiques faisant des membres de la famille des partenaires de soins pendant la pandémie de COVID-19
Chercheuse principale : Janice Keefe
Établissement d’accueil : Université Mount Saint Vincent (Nouvelle-Écosse)
Mise en œuvre de politiques faisant des membres de la famille des partenaires de soins pendant la pandémie de COVID-19Chercheuse principale : Janice Keefe |
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Mise en œuvre de politiques faisant des membres de la famille des partenaires de soins pendant la pandémie de COVID-19
Pratique prometteuse : Présence des familles
Territoires visés : Digby, Sydney, Debert, Halifax (Nouvelle-Écosse), Charlottetown, Summerside (Île-du-Prince-Édouard)
Longtemps séparées des membres de leur famille pendant la première vague de COVID-19, les personnes vivant en établissement de soins de longue durée (SLD) ont vu leur bien-être et leur qualité de vie en pâtir. La famille joue un rôle critique en SLD, puisqu’elle aide souvent le résident à s’alimenter, à faire sa toilette et à se déplacer. Notre projet porte sur l’implantation et le maintien de directives de santé publique visant à augmenter, au moyen de « visites de soutien », la présence des familles (et des amis) dans les établissements pendant la pandémie.
Comme les restrictions sanitaires varient selon l’état de la situation, il est important de comprendre le processus d’autorisation des visites de soutien, dont la mobilisation et la représentation des familles, les facteurs favorisant le maintien de cette permission et les effets des visites de soutien pour les résidents, les familles et le personnel.
Mise en œuvre de politiques faisant des membres de la famille des partenaires de soins pendant la pandémie de COVID-19Chercheuse principale : Janice Keefe |
Pratique prometteuse : Présence des familles Longtemps séparées des membres de leur famille pendant la première vague de COVID-19, les personnes vivant en établissement de soins de longue durée (SLD) ont vu leur bien-être et leur qualité de vie en pâtir. La famille joue un rôle critique en SLD, puisqu’elle aide souvent le résident à s’alimenter, à faire sa toilette et à se déplacer. Notre projet porte sur l’implantation et le maintien de directives de santé publique visant à augmenter, au moyen de « visites de soutien », la présence des familles (et des amis) dans les établissements pendant la pandémie. Comme les restrictions sanitaires varient selon l’état de la situation, il est important de comprendre le processus d’autorisation des visites de soutien, dont la mobilisation et la représentation des familles, les facteurs favorisant le maintien de cette permission et les effets des visites de soutien pour les résidents, les familles et le personnel. |
Trouver l’équilibre : l’adoption de politiques sur la présence des familles dans les établissements de soins de longue durée de l’Ontario
Chercheur principal : Samir Sinha
Établissement d’accueil : Université Ryerson (Ontario)
Trouver l’équilibre : l’adoption de politiques sur la présence des familles dans les établissements de soins de longue durée de l’OntarioChercheur principal : Samir Sinha |
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Trouver l’équilibre : l’adoption de politiques sur la présence des familles dans les établissements de soins de longue durée de l’Ontario
Pratiques prometteuses : Réponse à la pandémie, capacité d’appoint, planification des soins COVID-19 et non COVID-19, présence des familles
Territoires visés : Toronto, Ottawa (Ontario)
Cette étude visait à déterminer comment mieux soutenir les politiques sur la présence des familles dans les établissements de soins de longue durée pour éviter des préjudices graves et irréparables aux résidents et résidentes pendant des pandémies comme celle de la COVID-19.
Au cours de la pandémie de COVID-19, l’équipe de recherche a produit deux documents stratégiques clés destinés aux établissements de soins de longue durée, aux gouvernements et aux responsables des politiques contenant des données pertinentes et utilisables rapidement. Elle a conçu et publié deux documents de référence pour soutenir les pratiques sûres dans les établissements de soins de longue durée pendant la pandémie.
L’équipe de recherche travaille actuellement à l’élaboration d’une politique définitive s’appuyant sur les deux précédentes à partir des données recueillies auprès d’un établissement partenaire, Hillel Lodge.
Les documents de l’équipe visent à proposer des politiques équilibrant le bien-être et la sécurité des résidents et résidentes d’établissements de soins de longue durée tout en favorisant les visites sécuritaires, les activités communautaires et les sorties. Les documents publiés jusqu’à présent ont permis une application des connaissances rapide dans divers secteurs et favorisé l’utilisation de données de grande qualité obtenues en temps réel par les gouvernements, les responsables des politiques et les établissements de soins de longue durée pour l’élaboration et l’application de leurs politiques de réouverture. L’équipe de recherche continue d’analyser les données recueillies dans le cadre de ce projet afin de formuler des recommandations sur les prochaines étapes en soins de longue durée.
Ressource
Trouver l’équilibre : l’adoption de politiques sur la présence des familles dans les établissements de soins de longue durée de l’OntarioChercheur principal : Samir Sinha |
Pratiques prometteuses : Réponse à la pandémie, capacité d’appoint, planification des soins COVID-19 et non COVID-19, présence des familles Territoires visés : Toronto, Ottawa (Ontario) Cette étude visait à déterminer comment mieux soutenir les politiques sur la présence des familles dans les établissements de soins de longue durée pour éviter des préjudices graves et irréparables aux résidents et résidentes pendant des pandémies comme celle de la COVID-19. Au cours de la pandémie de COVID-19, l’équipe de recherche a produit deux documents stratégiques clés destinés aux établissements de soins de longue durée, aux gouvernements et aux responsables des politiques contenant des données pertinentes et utilisables rapidement. Elle a conçu et publié deux documents de référence pour soutenir les pratiques sûres dans les établissements de soins de longue durée pendant la pandémie. L’équipe de recherche travaille actuellement à l’élaboration d’une politique définitive s’appuyant sur les deux précédentes à partir des données recueillies auprès d’un établissement partenaire, Hillel Lodge. Les documents de l’équipe visent à proposer des politiques équilibrant le bien-être et la sécurité des résidents et résidentes d’établissements de soins de longue durée tout en favorisant les visites sécuritaires, les activités communautaires et les sorties. Les documents publiés jusqu’à présent ont permis une application des connaissances rapide dans divers secteurs et favorisé l’utilisation de données de grande qualité obtenues en temps réel par les gouvernements, les responsables des politiques et les établissements de soins de longue durée pour l’élaboration et l’application de leurs politiques de réouverture. L’équipe de recherche continue d’analyser les données recueillies dans le cadre de ce projet afin de formuler des recommandations sur les prochaines étapes en soins de longue durée. Ressource |
Projet de mise en œuvre de la Trousse d’outils sur l’isolement en contexte de démence
Chercheuse principale : Andrea Iaboni
Établissement d’accueil : Institut de réadaptation de Toronto, Réseau universitaire de santé (Ontario)
Projet de mise en œuvre de la Trousse d’outils sur l’isolement en contexte de démenceChercheuse principale : Andrea Iaboni |
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Projet de mise en œuvre de la Trousse d’outils sur l’isolement en contexte de démence
Pratiques prometteuses : Prévention, personnel, planification des soins COVID-19 et non COVID-19, présence des familles
Territoires visés : Toronto, Petrolia, Sarnia (Ontario)
Cette équipe de recherche s’est associée à trois établissements de soins de longue durée en Ontario pour mettre en œuvre la Trousse d’outils sur l’isolement en contexte de démence. L’étude visait les objectifs suivants :
- Concevoir un protocole de mise en œuvre de la Trousse d’outils adapté à chaque établissement, en collaboration avec les principales parties prenantes en soins de longue durée (notamment le personnel et les personnes proches aidantes).
- Améliorer la qualité des soins administrés aux résidents et résidentes d’établissements de soins de longue durée durant leur isolement à l’aide de la Trousse d’outils.
- Mesurer les effets de la Trousse d’outils sur la détresse morale autodéclarée dans les établissements de soins de longue durée.
- Déterminer les facteurs (culture organisationnelle, gestion, ressources ou politiques externes) qui ont influencé l’adoption et l’utilisation de la Trousse d’outils ainsi que son incidence sur la qualité des soins prodigués aux résidents et résidentes et sur la détresse morale chez les membres du personnel.
La mise en œuvre de la Trousse d’outils a entraîné des changements positifs et permanents dans deux des trois établissements participants. Voici quelques exemples des retombées :
- L’équipe de recherche et ses partenaires ont appris comment aborder la mise en œuvre des interventions dans les établissements de soins de longue durée en les adaptant au contexte, à la culture et aux besoins particuliers de chaque établissement.
- L’équipe de recherche a apporté des changements substantiels au processus d’admission et d’accueil des établissements de soins de longue durée afin de favoriser une transition plus axée sur la personne et d’adopter un modèle de soins holistiques.
- L’équipe de recherche a co-conçu et diffusé des outils éducatifs pour favoriser une meilleure communication et des soins centrés sur la personne dans les établissements de soins de longue durée.
- L’équipe de recherche a sensibilisé le personnel aux signes et symptômes de détresse morale.
- À l’aide des données et des commentaires recueillis durant l’étude, l’équipe de recherche a mis sur pied un caucus favorisant la communication et la résolution de problèmes concernant la prestation de soins centrés sur la personne en contexte d’isolement.
- L’équipe de recherche a utilisé les résultats pour revendiquer des changements qui permettront de surmonter les contraintes systémiques à la prestation de soins de qualité centrés sur la personne.
Les conditions de travail en soins de longue durée nuisent à la capacité de promouvoir le changement ou d’améliorer la qualité des soins donnés aux résidents et résidentes
La mise en œuvre d’une intervention de soins centrés sur la personne pendant la pandémie a été entravée, souvent en raison du manque de personnel et des conditions de travail difficiles. Les expériences et découvertes réalisées par l’équipe de recherche sur le travail en soins de longue durée appuient l’idée selon laquelle les conditions de travail correspondent aux conditions de soins et influencent la qualité des soins fournis aux résidents et résidentes par le personnel, notamment en ce qui a trait à sa capacité à appliquer une intervention de la Trousse d’outils.
Les approches de planification des soins longue durée
La planification des soins de longue durée s’axe sur le respect de normes de soins obligatoires minimales (par exemple combler les besoins physiques de base des résidents et résidentes) par rapport à une approche personnalisée et ambitieuse visant à établir un plan de soins holistique pour répondre aux besoins physiques, psychologiques, émotionnels et sociaux des résidents et résidentes d’établissements de soins de longue durée. L’étude a révélé des divergences entre l’approche normalisée de planification des soins actuelle et celle préconisée par la Trousse d’outils. Des changements à la culture, aux valeurs et aux normes de soins obligatoires doivent donc être apportés pour indiquer au personnel en soins de longue durée quel type de soins est requis pour provoquer un changement.
Ressources
Projet de mise en œuvre de la Trousse d’outils sur l’isolement en contexte de démenceChercheuse principale : Andrea Iaboni |
Pratiques prometteuses : Prévention, personnel, planification des soins COVID-19 et non COVID-19, présence des familles Territoires visés : Toronto, Petrolia, Sarnia (Ontario) Cette équipe de recherche s’est associée à trois établissements de soins de longue durée en Ontario pour mettre en œuvre la Trousse d’outils sur l’isolement en contexte de démence. L’étude visait les objectifs suivants :
La mise en œuvre de la Trousse d’outils a entraîné des changements positifs et permanents dans deux des trois établissements participants. Voici quelques exemples des retombées :
Les conditions de travail en soins de longue durée nuisent à la capacité de promouvoir le changement ou d’améliorer la qualité des soins donnés aux résidents et résidentesLa mise en œuvre d’une intervention de soins centrés sur la personne pendant la pandémie a été entravée, souvent en raison du manque de personnel et des conditions de travail difficiles. Les expériences et découvertes réalisées par l’équipe de recherche sur le travail en soins de longue durée appuient l’idée selon laquelle les conditions de travail correspondent aux conditions de soins et influencent la qualité des soins fournis aux résidents et résidentes par le personnel, notamment en ce qui a trait à sa capacité à appliquer une intervention de la Trousse d’outils. Les approches de planification des soins longue duréeLa planification des soins de longue durée s’axe sur le respect de normes de soins obligatoires minimales (par exemple combler les besoins physiques de base des résidents et résidentes) par rapport à une approche personnalisée et ambitieuse visant à établir un plan de soins holistique pour répondre aux besoins physiques, psychologiques, émotionnels et sociaux des résidents et résidentes d’établissements de soins de longue durée. L’étude a révélé des divergences entre l’approche normalisée de planification des soins actuelle et celle préconisée par la Trousse d’outils. Des changements à la culture, aux valeurs et aux normes de soins obligatoires doivent donc être apportés pour indiquer au personnel en soins de longue durée quel type de soins est requis pour provoquer un changement. Ressources |
Application de la politique « un seul site à risque »
Chercheuse principale : Joanie Sims Gould
Établissement d’accueil : Université de la Colombie-Britannique
Application de la politique « un seul site à risque »Chercheuse principale : Joanie Sims Gould |
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Application de la politique « un seul site à risque »
Pratique prometteuse : Personnel
Territoires visés : Vancouver, Richmond, Mission (Colombie-Britannique)
Ce projet de recherche visait à évaluer l’application de la politique « un seul site à risque » et son incidence sur les établissements de soins de longue durée, le personnel, les résidents et résidentes et les familles.
L’équipe de recherche a déterminé que cette politique a eu des répercussions négatives involontaires sur ces établissements, le personnel et les résidents et résidentes.
L’étude a aussi mis en évidence l’importance d’élaborer et de mettre en œuvre des politiques en étroite collaboration avec les principales parties prenantes à long terme, notamment les cadres, le personnel, les résidents et résidentes et les personnes représentant les familles.
Application de la politique « un seul site à risque »Chercheuse principale : Joanie Sims Gould |
Pratique prometteuse : Personnel Territoires visés : Vancouver, Richmond, Mission (Colombie-Britannique) Ce projet de recherche visait à évaluer l’application de la politique « un seul site à risque » et son incidence sur les établissements de soins de longue durée, le personnel, les résidents et résidentes et les familles. L’équipe de recherche a déterminé que cette politique a eu des répercussions négatives involontaires sur ces établissements, le personnel et les résidents et résidentes. L’étude a aussi mis en évidence l’importance d’élaborer et de mettre en œuvre des politiques en étroite collaboration avec les principales parties prenantes à long terme, notamment les cadres, le personnel, les résidents et résidentes et les personnes représentant les familles. |
Optimiser la résilience à la COVID-19 des minorités linguistiques en soins de longue durée
Chercheur principal : Idrissa Beogo
Établissement d’accueil : Université de Saint-Boniface (Manitoba)
Optimiser la résilience à la COVID-19 des minorités linguistiques en soins de longue duréeChercheur principal : Idrissa Beogo |
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Optimiser la résilience à la COVID-19 des minorités linguistiques en soins de longue durée
Pratiques prometteuses : Présence des familles, prévention, effectifs
Territoires visés : Québec (Québec), Winnipeg, Sainte-Anne (Manitoba), Lamèque, Moncton (Nouveau-Brunswick)
Au Canada, 81 % des décès de la première vague de COVID-19 sont survenus dans des établissements de soins de longue durée (ESLD). Les mesures de santé publique limitant les contacts avec les professionnels, les familles et proches aidants ont eu des effets collatéraux inattendus. Elles ont approfondi l’isolement et la solitude des personnes âgées, surtout en contexte minoritaire, et ont ainsi accru leur vulnérabilité.
Au Québec, le cinquième des infections a concerné le personnel de la santé. Les ESLD fonctionnent avec un effectif insuffisant, épuisé et craignant l’infection. La grande majorité n’intègre pas les technologies numériques de façon optimale. Nul n’était préparé au défi de la COVID-19, mais les innovations mises en œuvre jusqu’ici montrent des îlots de succès, des pratiques gagnantes que notre projet compilera, en se concentrant sur les minorités linguistico-culturelles.
Notre but est de recenser et d’implanter les meilleures pratiques prometteuses, de créer une communauté de pratique afin d’atténuer l’isolement et la solitude des résidents et d’assurer des soins sécuritaires et de qualité dans les ESLD. Nous ciblons les personnes âgées qui appartiennent à des minorités linguistiques et culturelles. Vu le nombre très limité d’ESLD dédiés à ces populations, les proches se trouvent souvent loin géographiquement, ce qui rend les solutions numériques d’autant plus utiles.
Optimiser la résilience à la COVID-19 des minorités linguistiques en soins de longue duréeChercheur principal : Idrissa Beogo |
Pratiques prometteuses : Présence des familles, prévention, effectifs Au Canada, 81 % des décès de la première vague de COVID-19 sont survenus dans des établissements de soins de longue durée (ESLD). Les mesures de santé publique limitant les contacts avec les professionnels, les familles et proches aidants ont eu des effets collatéraux inattendus. Elles ont approfondi l’isolement et la solitude des personnes âgées, surtout en contexte minoritaire, et ont ainsi accru leur vulnérabilité. Au Québec, le cinquième des infections a concerné le personnel de la santé. Les ESLD fonctionnent avec un effectif insuffisant, épuisé et craignant l’infection. La grande majorité n’intègre pas les technologies numériques de façon optimale. Nul n’était préparé au défi de la COVID-19, mais les innovations mises en œuvre jusqu’ici montrent des îlots de succès, des pratiques gagnantes que notre projet compilera, en se concentrant sur les minorités linguistico-culturelles. Notre but est de recenser et d’implanter les meilleures pratiques prometteuses, de créer une communauté de pratique afin d’atténuer l’isolement et la solitude des résidents et d’assurer des soins sécuritaires et de qualité dans les ESLD. Nous ciblons les personnes âgées qui appartiennent à des minorités linguistiques et culturelles. Vu le nombre très limité d’ESLD dédiés à ces populations, les proches se trouvent souvent loin géographiquement, ce qui rend les solutions numériques d’autant plus utiles. |
Soutenir la santé mentale et prévenir les préjudices moraux chez le personnel en soins de longue durée : étude de mise en œuvre d’une trousse de méthodes mixtes
Chercheuse principale : Bonnie Lashewicz
Établissement d’accueil : Université de Calgary (Alberta)
Soutenir la santé mentale et prévenir les préjudices moraux chez le personnel en soins de longue durée : étude de mise en œuvre d’une trousse de méthodes mixtesChercheuse principale : Bonnie Lashewicz |
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Soutenir la santé mentale et prévenir les préjudices moraux chez le personnel en soins de longue durée : étude de mise en œuvre d’une trousse de méthodes mixtes
Pratique prometteuse : Personnel
Territoires visés : Edmonton, Calgary, Okotoks (Alberta)
Ce projet a permis d’étudier comment soutenir la santé mentale et prévenir les préjudices moraux chez le personnel en soins de longue durée. L’étude visait les objectifs suivants :
- Rassembler auprès des parties prenantes des données sur les besoins en santé mentale et les risques de préjudices moraux du personnel.
- Recueillir les évaluations des parties prenantes sur une sélection d’outils de promotion de la santé mentale et de prévention des préjudices moraux.
- Créer et diffuser une trousse de promotion de la santé mentale et de prévention des préjudices moraux adaptée pour le personnel en soins de longue durée en contexte pandémique.
- Élaborer des stratégies fondées sur la théorie et les faits concernant la mise à l’échelle et la diffusion de la trousse d’outils.
L’équipe participe à un volet de recherche en continu comprenant une demande pour la création et l’essai d’une application fournie par l’employeur visant à favoriser le renforcement du milieu de travail en soins de longue durée, et une autre pour l’étude des défis et des occasions de l’augmentation des outils de renforcement du milieu de travail fournis par l’employeur.
Ressources
Soutenir la santé mentale et prévenir les préjudices moraux chez le personnel en soins de longue durée : étude de mise en œuvre d’une trousse de méthodes mixtesChercheuse principale : Bonnie Lashewicz |
Pratique prometteuse : Personnel Territoires visés : Edmonton, Calgary, Okotoks (Alberta) Ce projet a permis d’étudier comment soutenir la santé mentale et prévenir les préjudices moraux chez le personnel en soins de longue durée. L’étude visait les objectifs suivants :
L’équipe participe à un volet de recherche en continu comprenant une demande pour la création et l’essai d’une application fournie par l’employeur visant à favoriser le renforcement du milieu de travail en soins de longue durée, et une autre pour l’étude des défis et des occasions de l’augmentation des outils de renforcement du milieu de travail fournis par l’employeur. Ressources |
Création et mise en œuvre d’un cheminement clinique pour les personnes âgées fragiles en soins de longue durée
Chercheuse principale : Zahra Goodarzi
Établissement d’accueil : Université de Calgary (Alberta)
Création et mise en œuvre d’un cheminement clinique pour les personnes âgées fragiles en soins de longue duréeChercheuse principale : Zahra Goodarzi |
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Création et mise en œuvre d’un cheminement clinique pour les personnes âgées fragiles en soins de longue durée
Pratiques prometteuses : Préparation, planification des soins COVID-19 et non COVID-19
Territoires visés : Calgary (Alberta), Burnaby (Colombie-Britannique)
Ce projet de recherche visait à mettre au point un cheminement clinique fondé sur des données probantes pour la détection précoce de la fragilité et la prestation rapide de soins palliatifs tenant compte du niveau de fragilité dans les établissements de soins de longue durée.
Les objectifs de l’équipe de recherche étaient les suivants :
- Élaborer un cheminement clinique éclairé par des données probantes axé sur le diagnostic et la prise en charge de la fragilité, y compris l’intégration de soins palliatifs précoces dans les soins de longue durée.
- Comprendre les obstacles et les leviers du cheminement clinique en soins de longue durée.
- Concevoir et mettre à l’essai une stratégie de mise en œuvre du cheminement clinique.
Pour élaborer le cheminement clinique, l’équipe de recherche a mené des entretiens et examiné les informations recueillies dans des établissements de soins de longue durée. Malgré les difficultés de recrutement et de disponibilité en période de pandémie, l’équipe de recherche a recruté un large éventail de personnes selon la méthode Delphi (technique ou méthode de communication structurée, initialement conçue comme une méthode de prévision systématique et interactive reposant sur un panel d’experts) et a reçu des réponses enthousiastes pour l’élaboration de ce cheminement clinique pour les personnes fragilisées. Plusieurs parties prenantes de divers horizons ont également donné des commentaires et ont manifesté leur volonté de contribuer à l’étude. La méthode Delphi a débouché sur un cheminement clinique sur la fragilité guidé par des experts en la matière et qui servira de base à la mise en œuvre.
Les relations établies dans le cadre de cette étude ont permis à l’équipe de recherche de mieux comprendre ce que les établissements de soins de longue durée souhaitaient mettre en œuvre dans leur milieu de soins. Les discussions avec les partenaires des soins de longue durée ont montré qu’ils voulaient mettre en place un cheminement clinique pour les personnes fragilisées, combler les lacunes dans les soins liées à la fragilité et collaborer aux recherches futures afin d’améliorer les soins prodigués aux résidents et résidentes. La mise en œuvre d’un tel cheminement clinique peut aider à mieux détecter, traiter et prendre en charge la fragilité chez les résidents et résidentes, en fonction du degré de fragilité, et peut aussi favoriser un accès plus rapide aux soins palliatifs. En créant un cheminement standardisé, les équipes de soins peuvent mieux répondre aux besoins des résidents et résidentes et améliorer ou maintenir leur qualité de vie. L’absence de méthode officielle de détection de la fragilité peut retarder les étapes ultérieures de prise en charge et de traitement. L’équipe de recherche réalisera la mise en œuvre du cheminement de concert avec d’autres établissements de soins de longue durée afin d’offrir une prise en charge de la fragilité et un accès plus rapides aux soins palliatifs.
Création et mise en œuvre d’un cheminement clinique pour les personnes âgées fragiles en soins de longue duréeChercheuse principale : Zahra Goodarzi |
Pratiques prometteuses : Préparation, planification des soins COVID-19 et non COVID-19 Territoires visés : Calgary (Alberta), Burnaby (Colombie-Britannique) Ce projet de recherche visait à mettre au point un cheminement clinique fondé sur des données probantes pour la détection précoce de la fragilité et la prestation rapide de soins palliatifs tenant compte du niveau de fragilité dans les établissements de soins de longue durée. Les objectifs de l’équipe de recherche étaient les suivants :
Pour élaborer le cheminement clinique, l’équipe de recherche a mené des entretiens et examiné les informations recueillies dans des établissements de soins de longue durée. Malgré les difficultés de recrutement et de disponibilité en période de pandémie, l’équipe de recherche a recruté un large éventail de personnes selon la méthode Delphi (technique ou méthode de communication structurée, initialement conçue comme une méthode de prévision systématique et interactive reposant sur un panel d’experts) et a reçu des réponses enthousiastes pour l’élaboration de ce cheminement clinique pour les personnes fragilisées. Plusieurs parties prenantes de divers horizons ont également donné des commentaires et ont manifesté leur volonté de contribuer à l’étude. La méthode Delphi a débouché sur un cheminement clinique sur la fragilité guidé par des experts en la matière et qui servira de base à la mise en œuvre. Les relations établies dans le cadre de cette étude ont permis à l’équipe de recherche de mieux comprendre ce que les établissements de soins de longue durée souhaitaient mettre en œuvre dans leur milieu de soins. Les discussions avec les partenaires des soins de longue durée ont montré qu’ils voulaient mettre en place un cheminement clinique pour les personnes fragilisées, combler les lacunes dans les soins liées à la fragilité et collaborer aux recherches futures afin d’améliorer les soins prodigués aux résidents et résidentes. La mise en œuvre d’un tel cheminement clinique peut aider à mieux détecter, traiter et prendre en charge la fragilité chez les résidents et résidentes, en fonction du degré de fragilité, et peut aussi favoriser un accès plus rapide aux soins palliatifs. En créant un cheminement standardisé, les équipes de soins peuvent mieux répondre aux besoins des résidents et résidentes et améliorer ou maintenir leur qualité de vie. L’absence de méthode officielle de détection de la fragilité peut retarder les étapes ultérieures de prise en charge et de traitement. L’équipe de recherche réalisera la mise en œuvre du cheminement de concert avec d’autres établissements de soins de longue durée afin d’offrir une prise en charge de la fragilité et un accès plus rapides aux soins palliatifs. |
Préserver le lien entre les résidents et résidentes souffrant de troubles cognitifs en établissements de SLD et leurs proches dans un contexte de pandémie : évaluation de la mise en œuvre et des effets d’interventions virtuelles et en personne
Chercheuse principale : Marie-Soleil Hardy
Établissement d’accueil : Université Laval (Québec)
Préserver le lien entre les résidents et résidentes souffrant de troubles cognitifs en établissements de SLD et leurs proches dans un contexte de pandémie : évaluation de la mise en œuvre et des effets d’interventions virtuelles et en personneChercheuse principale : Marie-Soleil Hardy |
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Préserver le lien entre les résidents et résidentes souffrant de troubles cognitifs en établissements de SLD et leurs proches dans un contexte de pandémie : évaluation de la mise en œuvre et des effets d’interventions virtuelles et en personne
Pratique prometteuse : Présence des familles
Territoires visés : Saint-Jean-Port-Joli, Sainte-Marie, Thetford Mines, Saint-Augustin-de-Desmaures (Québec)
Ce projet de recherche avait pour objectif d’évaluer le processus de mise en œuvre, la viabilité et l’acceptabilité d’interventions conçues pour privilégier la présence des familles, leurs effets sur les résidents et résidentes et les personnes proches aidantes ainsi que les coûts associés. L’équipe de recherche a étudié l’expérience et les connaissances des usagers et usagères et de leur famille, appuyé des interventions visant à maintenir le lien entre les personnes aînées et leurs proches, et mis en lumière et maximisé l’effet positif de la présence des personnes proches aidantes sur la qualité de vie des personnes aînées.
L’instauration de cette innovation dans les établissements de soins de longue durée a créé d’autres occasions d’accroître les liens sociaux simplement en augmentant la fréquence des contacts avec les personnes proches aidantes qui effectuaient déjà des visites en personne ou en permettant à des personnes proches aidantes potentielles qui vivent loin de visiter plus souvent leurs proches.
Préserver le lien entre les résidents et résidentes souffrant de troubles cognitifs en établissements de SLD et leurs proches dans un contexte de pandémie : évaluation de la mise en œuvre et des effets d’interventions virtuelles et en personneChercheuse principale : Marie-Soleil Hardy |
Pratique prometteuse : Présence des familles Territoires visés : Saint-Jean-Port-Joli, Sainte-Marie, Thetford Mines, Saint-Augustin-de-Desmaures (Québec) Ce projet de recherche avait pour objectif d’évaluer le processus de mise en œuvre, la viabilité et l’acceptabilité d’interventions conçues pour privilégier la présence des familles, leurs effets sur les résidents et résidentes et les personnes proches aidantes ainsi que les coûts associés. L’équipe de recherche a étudié l’expérience et les connaissances des usagers et usagères et de leur famille, appuyé des interventions visant à maintenir le lien entre les personnes aînées et leurs proches, et mis en lumière et maximisé l’effet positif de la présence des personnes proches aidantes sur la qualité de vie des personnes aînées. L’instauration de cette innovation dans les établissements de soins de longue durée a créé d’autres occasions d’accroître les liens sociaux simplement en augmentant la fréquence des contacts avec les personnes proches aidantes qui effectuaient déjà des visites en personne ou en permettant à des personnes proches aidantes potentielles qui vivent loin de visiter plus souvent leurs proches. |
Faire des membres de la famille et des bénévoles des personnes proches aidantes essentielles en soins de longue durée
Chercheuse principale : Annie Robitaille
Établissement d’accueil : Université d’Ottawa (Ontario)
Faire des membres de la famille et des bénévoles des personnes proches aidantes essentielles en soins de longue duréeChercheuse principale : Annie Robitaille |
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Faire des membres de la famille et des bénévoles des personnes proches aidantes essentielles en soins de longue durée
Pratiques prometteuses : Présence des familles, personnel
Territoires visés : Ottawa, Welland, Vanier, Nepean (Ontario)
Ce projet de recherche visait les objectifs suivants :
- Mieux comprendre les questions de sécurité, d’efficacité et d’éthique des politiques COVID-19 en ce qui a trait à la présence des familles dans les milieux de soins de longue durée.
- Obtenir davantage de données probantes sur l’incidence à court terme et les répercussions prévues à long terme de la diminution du nombre de personnes proches aidantes (membres de la famille ou amies et amis) et de bénévoles officiels et du ratio de personnel causée par la COVID-19 sur le bien-être émotionnel et psychosocial des résidents et résidentes, des personnes proches aidantes et du personnel.
- Mobiliser les parties prenantes dans la recherche de solutions et l’élaboration de recommandations concernant le réexamen des politiques sur la présence des familles pour améliorer la réponse actuelle et la capacité d’intervention en cas de pandémie ou d’éclosion futures.
- Évaluer la mise en œuvre, l’adoption, l’efficacité et la pérennisation des interventions et politiques sur la présence des familles, et cerner et aborder les facteurs qui facilitent et compliquent le recours à des interventions et les changements de politiques dans divers milieux.
L’équipe de recherche a mené 64 entrevues avec des personnes proches aidantes et des bénévoles œuvrant auprès de résidents et résidentes d’établissements de soins de longue durée et 20 entrevues avec des résidents et résidentes. Ces entrevues ont permis de tirer de grandes leçons sur la pandémie concernant la présence des partenaires de soins du point de vue des personnes proches aidantes, des bénévoles et des résidents et résidentes d’établissements de soins de longue durée. L’équipe de recherche a également rassemblé des suggestions d’amélioration et recueilli les commentaires du personnel en soins de longue durée. Le travail de l’équipe de recherche a permis de mieux comprendre les répercussions des changements entraînés par la pandémie sur les membres des familles, les personnes proches aidantes, les bénévoles et les résidents et résidentes ainsi que les défis uniques de la réduction du nombre de personnes proches aidantes (membres de la famille, amies et amis, bénévoles) et de contacts avec les proches. Il a également aidé à mieux cerner les difficultés et les exemples de réussite afin de trouver des solutions pour faire face à de futures pandémies et épidémies.
Le projet a permis de formuler des recommandations du point de vue des personnes proches aidantes et des résidents et résidentes des établissements de soins de longue durée et de souligner l’importance d’une collaboration étroite entre les chercheurs et chercheuses et les utilisateurs et utilisatrices de connaissances dans ce secteur.
Faire des membres de la famille et des bénévoles des personnes proches aidantes essentielles en soins de longue duréeChercheuse principale : Annie Robitaille |
Pratiques prometteuses : Présence des familles, personnel Territoires visés : Ottawa, Welland, Vanier, Nepean (Ontario) Ce projet de recherche visait les objectifs suivants :
L’équipe de recherche a mené 64 entrevues avec des personnes proches aidantes et des bénévoles œuvrant auprès de résidents et résidentes d’établissements de soins de longue durée et 20 entrevues avec des résidents et résidentes. Ces entrevues ont permis de tirer de grandes leçons sur la pandémie concernant la présence des partenaires de soins du point de vue des personnes proches aidantes, des bénévoles et des résidents et résidentes d’établissements de soins de longue durée. L’équipe de recherche a également rassemblé des suggestions d’amélioration et recueilli les commentaires du personnel en soins de longue durée. Le travail de l’équipe de recherche a permis de mieux comprendre les répercussions des changements entraînés par la pandémie sur les membres des familles, les personnes proches aidantes, les bénévoles et les résidents et résidentes ainsi que les défis uniques de la réduction du nombre de personnes proches aidantes (membres de la famille, amies et amis, bénévoles) et de contacts avec les proches. Il a également aidé à mieux cerner les difficultés et les exemples de réussite afin de trouver des solutions pour faire face à de futures pandémies et épidémies. Le projet a permis de formuler des recommandations du point de vue des personnes proches aidantes et des résidents et résidentes des établissements de soins de longue durée et de souligner l’importance d’une collaboration étroite entre les chercheurs et chercheuses et les utilisateurs et utilisatrices de connaissances dans ce secteur. |
COVID-19 : implantation d’une intervention en ligne du modèle de soins P.I.E.C.E.S.ᵐᶜ pour la planification des soins aux résidents avec la famille afin de favoriser à long terme le travail d’équipe et la résilience du personnel en soins de longue durée (SLD) – questions de recherche et approche de science de la mise en œuvre
Chercheuse principale : Denise Connelly
Établissement d’accueil : Université Western (Ontario)
COVID-19 : implantation d’une intervention en ligne du modèle de soins P.I.E.C.E.S.ᵐᶜ pour la planification des soins aux résidents avec la famille afin de favoriser à long terme le travail d’équipe et la résilience du personnel en soins de longue durée (SLD) – questions de recherche et approche de science de la mise en œuvreChercheuse principale : Denise Connelly |
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COVID-19 : implantation d’une intervention en ligne du modèle de soins P.I.E.C.E.S.ᵐᶜ pour la planification des soins aux résidents avec la famille afin de favoriser à long terme le travail d’équipe et la résilience du personnel en soins de longue durée (SLD) – questions de recherche et approche de science de la mise en œuvre
Pratiques prometteuses : Personnel, présence des familles et planification des soins COVID-19 et non COVID-19
Territoires visés : Chatham, Sarnia (Ontario)
Cette étude portait sur les questions de recherche suivantes :
- Quelles leçons avons-nous tirées sur les facteurs qui facilitent et qui compliquent la mise en œuvre d’une intervention en ligne du modèle P.I.E.C.E.SMC pour la planification de soins centrés sur le résident ou la résidente visant à préparer, à soutenir et à guider l’équipe soignante (résident ou résidente, famille et personnel) durant une éclosion de COVID-19 ou de grippe?
- La mise en œuvre d’une intervention en ligne du modèle P.I.E.C.E.SMC aidera-t-elle à briser l’isolement social des résidents et résidentes et à accroître la collaboration des familles et de l’équipe en vue d’améliorer les résultats pour les résidents et résidentes, la résilience des infirmiers et infirmières auxiliaires et la communication entre les établissements de soins de longue durée et la famille?
Les expériences des personnes participantes indiquent que la mise en œuvre de l’intervention en ligne P.I.E.C.E.SMC dirigée par des infirmiers et infirmières auxiliaires a encouragé la prestation de soins personnalisés, l’inclusion des familles comme partenaires de soins, la collaboration interdisciplinaire et l’amélioration des pratiques du personnel. Les personnes aînées, leur famille et les partenaires de soins ont senti que leur contribution au projet de recherche était précieuse. Ces personnes étaient motivées à y participer, car elles croyaient nécessaire d’améliorer la prestation des soins aux personnes aînées présentant des comportements réactifs en soins de longue durée. Cependant, l’intervention en ligne P.I.E.C.E.SMC, telle qu’elle a été adoptée, ne permettait pas aux membres de la famille de donner de la rétroaction sur les résultats observés chez leurs proches aînés. Des partenaires spécialistes ont donc été invités à se joindre à l’équipe pour faire le pont entre la recherche et la pratique, tisser des relations à distance, outiller les champions de première ligne et adapter l’intervention aux circonstances difficiles afin d’assurer le succès de l’intervention.
Nous avons remarqué une diminution de l’aiguillage vers Soutien en cas de troubles du comportement en Ontario pour du soutien comportemental, signe d’une très bonne prise en charge des changements comportementaux par le personnel; cette observation est importante considérant les statistiques récentes sur l’utilisation accrue d’antipsychotiques dans les soins de longue durée pendant la pandémie.
On peut également compter parmi les leçons tirées l’importance de la participation des parties prenantes à toutes les activités de recherche, la nécessité de clarifier les attentes pour chaque membre de l’équipe et l’influence du degré de préparation à la mise en œuvre selon les circonstances (par exemple la COVID-19) et l’adaptabilité aux changements.
En s’entraînant et en améliorant leurs compétences avec la technologie virtuelle, le personnel, les membres de la famille et les partenaires de soins en sont arrivés à préférer la télécommunication avec le cadre de planification des soins P.I.E.C.E.SMC. Pour favoriser la pérennité et l’intégration de la planification en ligne des soins comme pratique exemplaire dans les établissements de soins de longue durée, le personnel doit participer à la conception d’un algorithme qui lui est adapté et être appuyé dans ses efforts. Il faut aussi lui donner de la formation et du mentorat pour promouvoir une transition vers une culture axée sur la communication avec les personnes aînées et leur famille ou leurs partenaires de soins afin d’optimiser les soins et de favoriser le bien-être au travail. Les résultats ont permis de formuler plusieurs recommandations pour le secteur :
- Renforcer l’infrastructure technologique et les connaissances sur son utilisation.
- Fournir un soutien technologique aux familles, aux partenaires de soins et au personnel.
- Nommer des champions et championnes de recherche dans les établissements pour favoriser la participation aux recherches.
COVID-19 : implantation d’une intervention en ligne du modèle de soins P.I.E.C.E.S.ᵐᶜ pour la planification des soins aux résidents avec la famille afin de favoriser à long terme le travail d’équipe et la résilience du personnel en soins de longue durée (SLD) – questions de recherche et approche de science de la mise en œuvreChercheuse principale : Denise Connelly |
Pratiques prometteuses : Personnel, présence des familles et planification des soins COVID-19 et non COVID-19 Territoires visés : Chatham, Sarnia (Ontario) Cette étude portait sur les questions de recherche suivantes :
Les expériences des personnes participantes indiquent que la mise en œuvre de l’intervention en ligne P.I.E.C.E.SMC dirigée par des infirmiers et infirmières auxiliaires a encouragé la prestation de soins personnalisés, l’inclusion des familles comme partenaires de soins, la collaboration interdisciplinaire et l’amélioration des pratiques du personnel. Les personnes aînées, leur famille et les partenaires de soins ont senti que leur contribution au projet de recherche était précieuse. Ces personnes étaient motivées à y participer, car elles croyaient nécessaire d’améliorer la prestation des soins aux personnes aînées présentant des comportements réactifs en soins de longue durée. Cependant, l’intervention en ligne P.I.E.C.E.SMC, telle qu’elle a été adoptée, ne permettait pas aux membres de la famille de donner de la rétroaction sur les résultats observés chez leurs proches aînés. Des partenaires spécialistes ont donc été invités à se joindre à l’équipe pour faire le pont entre la recherche et la pratique, tisser des relations à distance, outiller les champions de première ligne et adapter l’intervention aux circonstances difficiles afin d’assurer le succès de l’intervention. Nous avons remarqué une diminution de l’aiguillage vers Soutien en cas de troubles du comportement en Ontario pour du soutien comportemental, signe d’une très bonne prise en charge des changements comportementaux par le personnel; cette observation est importante considérant les statistiques récentes sur l’utilisation accrue d’antipsychotiques dans les soins de longue durée pendant la pandémie. On peut également compter parmi les leçons tirées l’importance de la participation des parties prenantes à toutes les activités de recherche, la nécessité de clarifier les attentes pour chaque membre de l’équipe et l’influence du degré de préparation à la mise en œuvre selon les circonstances (par exemple la COVID-19) et l’adaptabilité aux changements. En s’entraînant et en améliorant leurs compétences avec la technologie virtuelle, le personnel, les membres de la famille et les partenaires de soins en sont arrivés à préférer la télécommunication avec le cadre de planification des soins P.I.E.C.E.SMC. Pour favoriser la pérennité et l’intégration de la planification en ligne des soins comme pratique exemplaire dans les établissements de soins de longue durée, le personnel doit participer à la conception d’un algorithme qui lui est adapté et être appuyé dans ses efforts. Il faut aussi lui donner de la formation et du mentorat pour promouvoir une transition vers une culture axée sur la communication avec les personnes aînées et leur famille ou leurs partenaires de soins afin d’optimiser les soins et de favoriser le bien-être au travail. Les résultats ont permis de formuler plusieurs recommandations pour le secteur :
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Exploitation d’un nouveau partenariat de soins COVID-19 et non COVID-19 en SLD
Chercheur principal : Geetha Mukerji
Établissement d’accueil : Hôpital Women’s College (Ontario)
Exploitation d’un nouveau partenariat de soins COVID-19 et non COVID-19 en SLDChercheur principal : Geetha Mukerji |
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Exploitation d’un nouveau partenariat de soins COVID-19 et non COVID-19 en SLD
Pratique prometteuse : Planification des soins COVID-19 et non COVID-19
Territoire visé : Toronto (Ontario)
Lors de la première vague de COVID-19, nous avons élaboré et vite implanté un modèle multiétablissements de soins virtuels collaboratifs, afin que les établissements de soins de longue durée (ESLD) du Grand Toronto puissent rapidement obtenir des services spécialisés et diagnostiques. À l’origine, notre programme, GTA-LTC+, visait à prévenir les transferts évitables à l’hôpital, une priorité à l’époque. Cependant, même avant la pandémie, on notait des lacunes dans l’accès coordonné aux spécialistes, qui idéalement seraient regroupés dans un seul hôpital partenaire par ESLD.
Utile pour améliorer les soins même sans les contraintes dues à la COVID-19, GTA-LTC+ permet en plus de veiller à ce que les résidents continuent de recevoir des soins spécialisés centrés sur la personne et de qualité pendant une éclosion. Le programme a une structure en étoile : six hôpitaux de deux des cinq régions sanitaires ontariennes (Toronto et Centre) fournissent rapidement certains services cliniques et diagnostiques, en personne ou à distance, à plusieurs ESLD associés.
Exploitation d’un nouveau partenariat de soins COVID-19 et non COVID-19 en SLDChercheur principal : Geetha Mukerji |
Pratique prometteuse : Planification des soins COVID-19 et non COVID-19 Lors de la première vague de COVID-19, nous avons élaboré et vite implanté un modèle multiétablissements de soins virtuels collaboratifs, afin que les établissements de soins de longue durée (ESLD) du Grand Toronto puissent rapidement obtenir des services spécialisés et diagnostiques. À l’origine, notre programme, GTA-LTC+, visait à prévenir les transferts évitables à l’hôpital, une priorité à l’époque. Cependant, même avant la pandémie, on notait des lacunes dans l’accès coordonné aux spécialistes, qui idéalement seraient regroupés dans un seul hôpital partenaire par ESLD. Utile pour améliorer les soins même sans les contraintes dues à la COVID-19, GTA-LTC+ permet en plus de veiller à ce que les résidents continuent de recevoir des soins spécialisés centrés sur la personne et de qualité pendant une éclosion. Le programme a une structure en étoile : six hôpitaux de deux des cinq régions sanitaires ontariennes (Toronto et Centre) fournissent rapidement certains services cliniques et diagnostiques, en personne ou à distance, à plusieurs ESLD associés. |
Présence des familles et d’autres personnes proches aidantes dans les établissements de soins de longue durée pendant et après la COVID-19
Chercheuse principale : Natasha Gallant
Établissement d’accueil : Université de Regina (Saskatchewan)
Présence des familles et d’autres personnes proches aidantes dans les établissements de soins de longue durée pendant et après la COVID-19Chercheuse principale : Natasha Gallant |
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Présence des familles et d’autres personnes proches aidantes dans les établissements de soins de longue durée pendant et après la COVID-19
Pratique prometteuse : Présence des familles
Régions visées : Saint John (N.-B.) et Hamilton (Ont.)
Dans le cadre de ses travaux axés sur la présence des familles, l’équipe de recherche a co-élaboré des interventions visant à promouvoir la présence de personnes proches aidantes bénévoles dans les établissements de soins de longue durée pendant la pandémie de COVID-19.
L’équipe a mis au point un cours virtuel sur la prévention et le contrôle des infections pour les personnes proches aidantes bénévoles; a établi sa présence en ligne et constitué un comité consultatif afférent ayant pour mandat de faire le lien entre les résidents et résidentes et les personnes proches aidantes bénévoles de tout le pays; et a formulé des recommandations relatives à l’intégration des notions d’équité, de diversité et d’inclusion dans les travaux de recherche sur les soins de longue durée au Canada.
Sur la base des résultats de ce projet, une collaboration a été entreprise avec les gouvernements de la Saskatchewan, du Manitoba et du Nouveau-Brunswick ainsi que d’autres parties prenantes concernées afin d’élaborer, de mettre en œuvre et d’évaluer un modèle social de soins qui réponde aux besoins en santé mentale des résidents et résidentes et des personnes proches aidantes bénévoles.
Ressources
Présence des familles et d’autres personnes proches aidantes dans les établissements de soins de longue durée pendant et après la COVID-19Chercheuse principale : Natasha Gallant |
Pratique prometteuse : Présence des familles Régions visées : Saint John (N.-B.) et Hamilton (Ont.) Dans le cadre de ses travaux axés sur la présence des familles, l’équipe de recherche a co-élaboré des interventions visant à promouvoir la présence de personnes proches aidantes bénévoles dans les établissements de soins de longue durée pendant la pandémie de COVID-19. L’équipe a mis au point un cours virtuel sur la prévention et le contrôle des infections pour les personnes proches aidantes bénévoles; a établi sa présence en ligne et constitué un comité consultatif afférent ayant pour mandat de faire le lien entre les résidents et résidentes et les personnes proches aidantes bénévoles de tout le pays; et a formulé des recommandations relatives à l’intégration des notions d’équité, de diversité et d’inclusion dans les travaux de recherche sur les soins de longue durée au Canada. Sur la base des résultats de ce projet, une collaboration a été entreprise avec les gouvernements de la Saskatchewan, du Manitoba et du Nouveau-Brunswick ainsi que d’autres parties prenantes concernées afin d’élaborer, de mettre en œuvre et d’évaluer un modèle social de soins qui réponde aux besoins en santé mentale des résidents et résidentes et des personnes proches aidantes bénévoles. Ressources |